Récemment, un membre âgé de ma famille est décédé après une longue période de maladie. Elle a été alitée pendant de nombreuses années, et quand elle est décédée, j’ai dit à mon fils de neuf ans que “sa souffrance est terminée, et le décès lui fait du bien”.
Mon fils m’a alors demandé si son autisme resterait avec le corps ou suivrait l’âme après la mort. J’ai été surpris et j’ai demandé aux autres soignants de m’aider à répondre à sa question.
Parmi les nombreuses réponses que j’ai reçues, la meilleure est celle d’un adulte autiste, Eric. Il m’a dit de dire à mon fils qu’il y a des joies spéciales dans ce monde que lui seul peut connaître à cause de son autisme. Ce n’est pas quelque chose que les “gens normaux” peuvent voir et apprécier facilement. La «souffrance» qu’il éprouve maintenant est due à la friction qu’il a à s’adapter au monde des «gens normaux». Une fois qu’il verra au-delà de cela, il verra que la vie avec l’autisme est acceptable et qu’il ne s’agit pas de quelque chose dont il doit être « soulagé ».
Je suis d’accord avec Eric, et mon fils semble avoir accepté cette réponse.
Les opinions de la société sur les personnes handicapées (PH) ont un impact important sur leur avenir et leur place dans la société. Les points de vue traditionnels consistent à considérer les personnes handicapées comme ayant besoin d’être « réparées » ou rendues « normales », et à considérer les personnes handicapées comme des victimes ayant besoin de pitié.
Une vision plus progressiste – le modèle des droits de l’homme – est que le handicap est causé par des barrières comportementales, environnementales et sociales, et que la suppression de ces barrières permettrait aux personnes handicapées de participer pleinement à la société.
La députée Denise Phua a appelé à la suppression de ces obstacles au Parlement en octobre 2020 et a déclaré qu’il y avait cinq domaines clés où il fallait faire plus pour les personnes handicapées. Il s’agit notamment de changer le point de vue de la société sur les personnes handicapées, de combler les lacunes dans les dispositions et d’inclure la voix des personnes handicapées dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques.
Le Comité des droits des personnes handicapées des Nations Unies a également publié un rapport sur la situation à Singapour à la fin de 2022 qui a formulé quatre recommandations, y compris un examen de la législation et des politiques existantes relatives au handicap, et de les fonder sur le modèle des droits de l’homme. du handicap.
J’attends avec impatience la réponse du gouvernement à ces recommandations.
Dylan Lau Zhiliang
Reference :
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