MONTRÉAL – Un sommet des Nations Unies sur la nature a culminé lundi avec un accord mondial visant à protéger les écosystèmes qui soutiennent la moitié de l’économie mondiale et à prévenir la perte supplémentaire de populations végétales et animales déjà ravagées.
Malgré une objection de la République démocratique du Congo, qui abrite de luxuriantes étendues de forêt tropicale, la présidence chinoise et le gouvernement hôte canadien ont déclaré l’accord approuvé.
Voici quelques-uns des domaines clés convenus après deux semaines de négociations organisées à Montréal, au Canada.
Conservation, protection et restauration
Les délégués se sont engagés à protéger 30 % des terres et 30 % des zones côtières et marines d’ici 2030, réalisant ainsi l’objectif le plus important de l’accord, connu sous le nom de 30-by-30.
Les territoires autochtones et traditionnels compteront également dans cet objectif, comme l’ont demandé de nombreux pays et militants lors des pourparlers.
L’accord aspire également à restaurer 30 % des terres et des eaux dégradées tout au long de la décennie, contre un objectif antérieur de 20 %.
Et le monde s’efforcera d’empêcher la destruction de paysages intacts et de zones abritant de nombreuses espèces, ramenant ces pertes “presque à zéro d’ici 2030”.
De l’argent pour la nature
Les signataires visent à garantir que 200 milliards de dollars américains (271,43 milliards de dollars singapouriens) par an soient acheminés vers des initiatives de conservation, à partir de sources publiques et privées.
Les pays les plus riches devraient y contribuer au moins 20 milliards de dollars par an d’ici 2025, et au moins 30 milliards de dollars par an d’ici 2030.
Cela semblait être la principale source d’objection de la République démocratique du Congo au paquet.
Les grandes entreprises signalent des impacts sur la biodiversité
Les entreprises doivent analyser et rendre compte de la manière dont leurs activités affectent et sont affectées par les problèmes de biodiversité. Les parties ont convenu que les grandes entreprises et les institutions financières seraient soumises à des « obligations » de divulguer leurs activités, leurs chaînes d’approvisionnement et leurs portefeuilles.
Ce reporting vise à promouvoir progressivement la biodiversité, à réduire les risques posés aux entreprises par le monde naturel et à encourager une production durable.
Reference :
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